Le GIEC vient d’achever un cycle de 8 ans de travaux qui résume l’état de la science sur le dérèglement climatique.
Les conclusions sont édifiantes : les politiques actuelles nous mènent droit vers un monde incertain et invivable pour de nombreuses personnes.
Pour la première fois, le GIEC dresse les solutions à déployer. Toutes reposent sur une action politique forte, axée sur la justice sociale, la lutte contre l’accumulation des richesses et le devoir de solidarité des pays riches envers les pays en voie de développement.
Parmi les outils les plus efficaces pour réduire nos émissions de CO2, on retrouve le développement massif des énergies renouvelables, la protection des espaces naturels, la sortie des énergies fossiles ou encore la performance énergétique du bâti.
Des solutions au cœur de la politique que nous menons depuis trois ans (retrouvez les bilans annuels sur notre site). D’ici 2026, plus d’1,5 milliards d’euros auront été mobilisés pour remettre notre métropole sur la bonne trajectoire.
Pour autant, nous serons encore loin d’avoir atteint les objectifs qui s’imposent à nous pour 2050 : atteindre la neutralité carbone à l’échelle de la métropole.
Cela signifie que nous devons continuer à placer l’écologie au cœur de chacune de nos politiques, et particulièrement, continuer à questionner l’impact des grands projets de territoire.
L’heure est aux choix politiques rationnels, responsables et, s’il le faut, courageux. Alors que la communauté scientifique mondiale implore le monde politique d’aligner son action sur les objectifs climatiques, aucun secteur, aucun projet ne peut désormais se dire « l’écologie, ce n’est pas mon affaire. »
En début de mandat, notre majorité s’est engagée à ce que « les réponses à l’urgence écologique et sociale constituent le fil de l’ensemble des politiques métropolitaines. »
Nous travaillons d’arrachepied pour que cet engagement soit tenu.
