Portrait
Jean-Baptiste
Thony
37 ans | Ingénieur
Originaire de l’Île de la Réunion, je grandis en Autriche et partage mes vacances en famille entre la montagne savoyarde et le petit village de Murviel-lès-Montpellier, dans l’Hérault. S’en suivent deux années aux USA, où j’obtiens mon baccalauréat, avant de rentrer en France pour les études. Au final, ce seront treize années passées à l’étranger qui, au contact d’autres langues et environnements, auront contribué à forger ma sensibilité écologiste : « penser global, agir local ».
Diplômé de l’Ecole Centrale de Nantes en 2010, je fais mes premières armes professionnelles dans un grand groupe industriel allemand, comme ingénieur-commercial. Une première expérience en pleine crise économique européenne post 2008, qui a nourrit en moi la conviction que les désastres environnementaux et sociaux n’étaient que les symptômes d’un mal profondément ancré dans nos sociétés : notre modèle économique. Mu par la seule poursuite du profit individuel (capitalisme), s’affranchissant de toute notion de solidarité et planification collective (libéral) et des limites physiques planétaires (productiviste), effaçant nos richesses culturelles (mondialisé) autant que notre libre-arbitre (consumériste), notre système économique est à bout de souffle, et il tente d’embarquer dans sa chute toute notre démocratie.
Je suis convaincu qu’il nous faut à présent, et impérativement, repenser les règles du jeu, construire une économie radicalement coopérative, sociale et circulaire.
« Changer le système, pas le climat »
Je m’installe à Bordeaux en 2017, dans le quartier de la Victoire, et c’est après une brève expérience de professeur de mathématiques et sciences en lycée professionnel que mon engagement politique prend finalement forme. Je partage à partir de 2019 mon temps entre l’association Low-Tech Bordeaux, que je cocrée et préside jusqu’en 2021, et le collectif ANV-COP21, mouvement de désobéissance civile non violent engagé dans la lutte climatique.
S’ouvre alors à moi l’opportunité d’un mandat politique sur la liste Bordeaux Respire : une chance inattendue et inouïe, que je souhaite à beaucoup d’autres. Conscient que « ce vote m’oblige », je m’investis pleinement et quotidiennement dans ces missions qui m’ont été confiées, avec un seul mot d’ordre : mettre du cœur à l’ouvrage.
Le chantier qui s’ouvre à nous est immense, et je suis heureux de pouvoir y contribuer.
Diplômé de l’Ecole Centrale de Nantes en 2010, je fais mes premières armes professionnelles dans un grand groupe industriel allemand, comme ingénieur-commercial. Une première expérience en pleine crise économique européenne post 2008, qui a nourrit en moi la conviction que les désastres environnementaux et sociaux n’étaient que les symptômes d’un mal profondément ancré dans nos sociétés : notre modèle économique. Mu par la seule poursuite du profit individuel (capitalisme), s’affranchissant de toute notion de solidarité et planification collective (libéral) et des limites physiques planétaires (productiviste), effaçant nos richesses culturelles (mondialisé) autant que notre libre-arbitre (consumériste), notre système économique est à bout de souffle, et il tente d’embarquer dans sa chute toute notre démocratie.
Je suis convaincu qu’il nous faut à présent, et impérativement, repenser les règles du jeu, construire une économie radicalement coopérative, sociale et circulaire.
« Changer le système, pas le climat »
Je m’installe à Bordeaux en 2017, dans le quartier de la Victoire, et c’est après une brève expérience de professeur de mathématiques et sciences en lycée professionnel que mon engagement politique prend finalement forme. Je partage à partir de 2019 mon temps entre l’association Low-Tech Bordeaux, que je cocrée et préside jusqu’en 2021, et le collectif ANV-COP21, mouvement de désobéissance civile non violent engagé dans la lutte climatique.
S’ouvre alors à moi l’opportunité d’un mandat politique sur la liste Bordeaux Respire : une chance inattendue et inouïe, que je souhaite à beaucoup d’autres. Conscient que « ce vote m’oblige », je m’investis pleinement et quotidiennement dans ces missions qui m’ont été confiées, avec un seul mot d’ordre : mettre du cœur à l’ouvrage.
Le chantier qui s’ouvre à nous est immense, et je suis heureux de pouvoir y contribuer.
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